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#lolivierconfiné

Olivier de Bastier

1ère de couverture
4ème de couverture



Né en 1965 à Marseille, Olivier de BASTIER est artiste plasticien. Formé aux Beaux-Arts de Marseille puis aux Arts Appliqués de Vevey, en Suisse, il installe son atelier à Paris. En 30 années, il connait plusieurs périodes artistiques distinctes. Après avoir été proche de la figuration libre, avec des peintures acryliques grand formats, il travaille depuis 10 ans à des formats plus réduits, à l’encre de Chine.
Il décline désormais ses sujets en séries. Arbres, maisons, visages, bateaux, animaux marins : c’est une esthétique sobre, qui joue sur l’effet de répétition et le contraste entre une encre sombre et des couleurs primaires. Olivier joue sur l’accident : l’objet comme la peinture est le fait de coulures et de hasards, qu’il provoque sans chercher à les contrôler. Ainsi, chaque représenta- tion est un écho de l’autre, sans jamais l’égaler. Son travail, ce sont aussi des sculptures noires, fruits de la collecte et de la recomposition de bois abandonnés. Même en format réduit et à l’encre le peintre reporter n’est jamais très loin.
Ses dernières expositions, en septembre 2018 à Marseille puis en novembre 2018 à Paris, en témoignent : « Odyssées »
et « Voyage en Barbarie » développent le thème de l’exil et des refugiés. Cela concrétise un engagement pictural dénonçant les maux de notre époque.
« Sous le pinceau d’Olivier de Bastier, la peinture retrouve le goût du récit l’artiste impressionne son support à la manière d’un peintre reporter, avide de saisir le vif d’une situation, d’une émotion »
Christophe Thomé, 1995,
conservateur centre Georges Pompidou.

L’artiste Olivier de Bastier nous propose une histoire poétique et sensible, née au printemps 2020, pendant le premier confinement, passé chez lui à Paris. Il apporte à l’aide d’une petite branche d’olivier et de quelques traits de Bic noir un regard plein de légèreté sur ces moments difficiles et souvent angoissants.
Son histoire nait le 26 mars 2020. Le confinement a déjà commencé depuis neuf jours, on imagine qu’il ne durera que peu de temps … Quinze jours tout au plus ? Ayant installé son atelier chez lui, Olivier observe d’un oeil les pleins et les déliés exercés par sa fille de cinq ans qui apprend à écrire et, de l’autre, une fragile branche d’olivier, souvenir d’un mois d’octobre en Toscane. Quelques superpositions de feuilles d’arbres et de bouts de papier, un personnage farceur et un rire d’enfant, l’imagination fera le reste. Naitront alors chaque matin, pendant soixante-dix jours, les facéties d’un petit bonhomme ordinaire et de cette branche d’olivier. Leur rencontre quotidienne devient le prétexte d’aventures de toutes sortes, un moyen de sortir de l’enfermement de cette étrange période. L’évasion se trouve au bout d’un trait de stylo bille.

De mars à juin 2020, suivez et découvrez le quotidien enchanté de l’olivierconfiné. Sur son île et autour de son arbre, tout semble possible, même l’espoir d’un monde meilleur et différent. Aussi prisonnier dans son confinement que libre dans sa tête, Olivier de Bastier se libère et nous emmène vers un ailleurs rêvé.
Depuis le 2 novembre c’est de nouveau « tous aux abris », le petit bonhomme est retourné se confiner sur son île, observant nos comportements de son regard malicieux.
De nouveau la poésie de #lolivierconfiné nous aide chaque jours à adoucir l’incertitude de nos quotidiens.


Les dessins

Ils ont été photographiés au fur et à mesure de leur création car chacun d’entre eux est une oeuvre éphémère composée à partir d’un trait de BIC, d’une brindille d’Olivier, d’ombres et de lumière. Chaque dessin est un instantané, un petit moment fugace.
L’auteur souligne ainsi le caractère éphémère et transitoire de la période vécue. Celle-ci est vouée à s’effacer peu à peu de nos mémoires, comme d’autres épidémies ont été oubliées avant celle-ci. Comme toujours, ce qui compose le temps présent est voué à être chassé par d’autres faits, d’autres événements, d’autres lames de fond. L’artiste espère laisser une trace poétique et sensible.


Format 28 x24 cm à l’italienne, 104 pages, tirage en 200 exemplaires sur papier Munken Lynk 150g. ISBN :  978-2-490962-09-9. Prix de vente 24 € (+ 8 € de frais de port). Si vous souhaitez acquérir un exemplaire, vous pouvez télécharger un BON de COMMANDE (au format pdf) et envoyer un chèque de 24 € plus 8 € de frais de port, à l’ordre de « Galerie 175 – Éditions du Chameau », au 15 rue Mélingue 14000 CAEN.

Pour une commande de 2 livres les frais de port s’élèvent toujours à 8 €.
Au-delà, nous contacter.



Quelques dessins extraits du livre :

Le bon de commande :

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